Je quitte l'armurerie, d'instinct mes pas me ramènent en ville. Si mes yeux n'ont pas été en proie à une hallucination quelconque, il doit y'avoir des appartements pas vraiment habités dans le coin. Avec un peu de chance, il y'en aura un de libre qui voudra bien abriter ma carcasse cette nuit, avant de trouver mieux.
Je marche dans les rues quelques peu inertes et étrangement calmes, mon flingue à la main, sait-on jamais. Je fais un arrêt pour me trouver des clopes et une bouteille pour me tenir chaud cette nuit. Et puis j'arrive devant les immeubles. Pas un chat, pas une lumière. Ok, je prends ca pour une invitation. Et puis dans cette ville pourrie doit pas y'avoir une porte de fermée à clés, ce serait le comble. Allez, entrons. Je monte au dernier étage, dans le hall y'avait une annonce, appartement à louer, je croise les doigts. Ding dong. Les portes de l'ascenseur s'ouvrent. Pas de quoi se tromper, y'a qu'une porte, je m'avance, je frappe, desfois qu'il y ai des squatteurs, rien, alors j'entre, la porte était ouverte.
Poussiéreux, pas lumineux pour deux sous, faut dire, il fait nuit. De vieux meubles qui s'entassent, c'est pas un palace. Mais ca fera l'affaire. Direction la douche, l'appartement est vide, j'ai rien à craindre. L'eau chaude qui se déverse sur mon corps, y'a rien de plus relaxant. Je resterais là dessous des heures si j'étais pas autant crevée. J'ai pas que ça a faire d'ailleurs. J'enroule une serviette autour de moi et me fait faire une visite de ce taudis. Je crève la dalle aussi, mais le frigo est vide. Hm tant pis. Squattons le salon gamine.
Je cherche les clopes et la bouteille que j'ai acheté, et puis j'entreprends de me cramer les poumons et de bousiller mon foie, après tout si ça ça me tue pas, ce sera cette ville.
Je marche dans les rues quelques peu inertes et étrangement calmes, mon flingue à la main, sait-on jamais. Je fais un arrêt pour me trouver des clopes et une bouteille pour me tenir chaud cette nuit. Et puis j'arrive devant les immeubles. Pas un chat, pas une lumière. Ok, je prends ca pour une invitation. Et puis dans cette ville pourrie doit pas y'avoir une porte de fermée à clés, ce serait le comble. Allez, entrons. Je monte au dernier étage, dans le hall y'avait une annonce, appartement à louer, je croise les doigts. Ding dong. Les portes de l'ascenseur s'ouvrent. Pas de quoi se tromper, y'a qu'une porte, je m'avance, je frappe, desfois qu'il y ai des squatteurs, rien, alors j'entre, la porte était ouverte.
Poussiéreux, pas lumineux pour deux sous, faut dire, il fait nuit. De vieux meubles qui s'entassent, c'est pas un palace. Mais ca fera l'affaire. Direction la douche, l'appartement est vide, j'ai rien à craindre. L'eau chaude qui se déverse sur mon corps, y'a rien de plus relaxant. Je resterais là dessous des heures si j'étais pas autant crevée. J'ai pas que ça a faire d'ailleurs. J'enroule une serviette autour de moi et me fait faire une visite de ce taudis. Je crève la dalle aussi, mais le frigo est vide. Hm tant pis. Squattons le salon gamine.
Je cherche les clopes et la bouteille que j'ai acheté, et puis j'entreprends de me cramer les poumons et de bousiller mon foie, après tout si ça ça me tue pas, ce sera cette ville.