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Sin City
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Le comptoir
Sin City- Compte Administrateur
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Dante- Hors la loi
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Date d'inscription : 31/01/2010
Age : 36
Feuille de personnage
Pseudo: Dante
Âge: 31 ans
Arme portée: Colt Anaconda / Couteaux
Putain de merde. J'ai couru à travers les fourrés depuis tellement longtemps que j'sens plus mes jambes. Mes fringues sont sales à forces d'être fouettés par les branches et les arbustes, mais j'm'en fous. J'y suis parvenu. Sin City. Un nouveau départ, une terre promise. Sin City, empire du vice, je te ferai mienne. Mais d'abord, il me faut une arme. Je trouve assez facilement l'armurerie, c'est un peu un temple pour les citoyens du coin. Bon, je veux un flingue, et une lame. Au moins. Une petite lame, une mignonne, qui passe partout, et qui fait son effet. Mes yeux rêvent devant la vitrine, et j'ai pas des masses de billets sur moi. Ce qui tombe plutôt bien, puisque ce sur quoi se posent mes pupilles éclairées entre dans mes prix. Je relève la tête au dessus du comptoir, sur le gros qui tient la boutique.
- Un Anaconda.
J'en retourne au rayon lames, et mes yeux s'illuminent, ils brillent de mille feux. Putain, ces couteaux sont d'enfer, et ils se vendent par deux. Magnifique. Sin City, ville de tarés, je t'aime.
- Et ajoutez-y un couplé de couteaux.
Je lâche la somme sur la planche du comptoir, et flanque les deux couteaux derrière mes reins, de chaque côté du dos de ma ceinture, bien sages dans leurs petits fourreaux de cuir, flanqués dans mon froc. Invisibles, rapides et faciles d'accès, je les aiguiserai une fois trouvé une piaule pour la nuit. En attendant, ils resteront là, à portée de main, prêts à être essayés. Je chope le flingue, le charge et puis, je l'arme. Il rejoint son holster, que j'flanque sous mes côtes. Je réenfile ma veste, et j'me rend compte que cet uniforme de bagnard est comme un panneau clignotant qui crierait Cavale. J'm'en rend compte en même temps que j'remarque le regard du vendeur sur mon uniforme. Il bronche pas. Pas d'la peur, simplement qu'il s'en fout. Il doit avoir l'habitude. Putain, Sin City, huitième merveille du monde, tu illumines mon peu de vie, je n'aurai que plus de plaisir à de voir brûler. Bon, ceci étant, va falloir que j'me trouve de nouvelles fringues. On verra si le peu de fric qu'il me reste fera l'affaire. J'espère bien, j'ai assez couru pour aujourd'hui. Here we go.
- Un Anaconda.
J'en retourne au rayon lames, et mes yeux s'illuminent, ils brillent de mille feux. Putain, ces couteaux sont d'enfer, et ils se vendent par deux. Magnifique. Sin City, ville de tarés, je t'aime.
- Et ajoutez-y un couplé de couteaux.
Je lâche la somme sur la planche du comptoir, et flanque les deux couteaux derrière mes reins, de chaque côté du dos de ma ceinture, bien sages dans leurs petits fourreaux de cuir, flanqués dans mon froc. Invisibles, rapides et faciles d'accès, je les aiguiserai une fois trouvé une piaule pour la nuit. En attendant, ils resteront là, à portée de main, prêts à être essayés. Je chope le flingue, le charge et puis, je l'arme. Il rejoint son holster, que j'flanque sous mes côtes. Je réenfile ma veste, et j'me rend compte que cet uniforme de bagnard est comme un panneau clignotant qui crierait Cavale. J'm'en rend compte en même temps que j'remarque le regard du vendeur sur mon uniforme. Il bronche pas. Pas d'la peur, simplement qu'il s'en fout. Il doit avoir l'habitude. Putain, Sin City, huitième merveille du monde, tu illumines mon peu de vie, je n'aurai que plus de plaisir à de voir brûler. Bon, ceci étant, va falloir que j'me trouve de nouvelles fringues. On verra si le peu de fric qu'il me reste fera l'affaire. J'espère bien, j'ai assez couru pour aujourd'hui. Here we go.
[ MJ : - 485 $ ]
John Custer- Hors la loi
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Date d'inscription : 22/03/2010
Feuille de personnage
Pseudo:
Âge: 28
Arme portée: Anaconda / Paire de couteaux
J'arrive devant le bâtiment, une enseigne quelque peu délabrée ornant sa porte avec les lettres capitales "ARMURERIE" inscrites dessus. Je me demande brièvement ce que je fais ici, mais la réponse me vient aussitôt. C'est vrai, il faut que je me fasse oublier depuis ma mésaventure et que pourrais-je trouver de mieux que ce paradis qui s'offre à moi? En effet, pas question que je me ballade à Sin-City sans mon petit joujou, les armes à feu c'est toute ma vie et mon hobby.
J'entre dans la boutique, mes yeux se portant aussitôt sur les produits que propose cette antre de la mort. Les yeux brillants et un sourire satisfait, je décris les rayonnages proposant de nombreuses lames et flingues brillants dans un vif éclat métallique. Oui c'est bien ici que je trouverais mon bonheur et après avoir observé attentivement et d'un œil expert tout cet attirail, je me dirige vers le vendeur se situant derrière le comptoir.
Le gérant, bedonnant, à l'air quelconque et de toute façons je me fous bien de sa description physique, je sais déjà ce que je veux et je vais l'acheter.
- Il me faudrait un Anaconda ainsi qu'un couple de couteau.
Une brève phrase et le vendeur se dirige aussitôt vers les stocks, revenant peu de temps après pour me donner ce que j'ai demandé. Je lâche la liasse de billets dans sa main et après avoir admiré mes nouvelles acquisitions avec un sourire carnassier, je m'empresse de les ranger. Je prends l'Anaconda que je glisse dans mon holster situé près de mes côtes, de manière à le dissimuler habilement sous mon manteau noir. Puis je m'empare des deux couteaux que j'enfile au niveau de ma ceinture, un sur le côté et l'autre dans le dos pour y accéder plus facilement. Avisant que je n'ai plus rien à faire ici, je me dirige vers la porte et sors aussitôt, me disant qu'il faudra que je nettoie au plus vite mes trouvailles.
[ MJ : - 485 $ ]
J'entre dans la boutique, mes yeux se portant aussitôt sur les produits que propose cette antre de la mort. Les yeux brillants et un sourire satisfait, je décris les rayonnages proposant de nombreuses lames et flingues brillants dans un vif éclat métallique. Oui c'est bien ici que je trouverais mon bonheur et après avoir observé attentivement et d'un œil expert tout cet attirail, je me dirige vers le vendeur se situant derrière le comptoir.
Le gérant, bedonnant, à l'air quelconque et de toute façons je me fous bien de sa description physique, je sais déjà ce que je veux et je vais l'acheter.
- Il me faudrait un Anaconda ainsi qu'un couple de couteau.
Une brève phrase et le vendeur se dirige aussitôt vers les stocks, revenant peu de temps après pour me donner ce que j'ai demandé. Je lâche la liasse de billets dans sa main et après avoir admiré mes nouvelles acquisitions avec un sourire carnassier, je m'empresse de les ranger. Je prends l'Anaconda que je glisse dans mon holster situé près de mes côtes, de manière à le dissimuler habilement sous mon manteau noir. Puis je m'empare des deux couteaux que j'enfile au niveau de ma ceinture, un sur le côté et l'autre dans le dos pour y accéder plus facilement. Avisant que je n'ai plus rien à faire ici, je me dirige vers la porte et sors aussitôt, me disant qu'il faudra que je nettoie au plus vite mes trouvailles.
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Francis Jefferson- Parrain
- Messages : 8
Date d'inscription : 21/03/2010
Feuille de personnage
Pseudo: Le Sudiste
Âge: 32
Arme portée: Colt Anaconda
La porte de l'armurerie s'ouvre doucement. Immédiatement, un grand courant d'air frais pénètre à l'intérieur, accompagné du bruit presque tonitruant de la pluie tombante drue au dehors.
Lentement, une silhouette entra, habillée d'un costard cravate impeccable, de belles chaussures cirées, une paire de gants noirs à faire pâlir de jalousie n'importe quel tueur à gages et un chapeau digne d'un vieux film de mafieux.
Comme pour annoncer sa présence, le parapluie qu'elle tenait dans sa main droite s'abaissa et fut refermé avant que le bout ne claque vivement sur le sol en éjectant la plupart des gouttelettes qui se trouvaient dessus.
L'armurier, occupé ou pas, se sera surement ramené au comptoir pour son client, ou pour descendre ce bourgeois présomptueux qui transformait son sol en mare aux canards. Celui-ci s'avança d'un pas ample au comptoir et posa son parapluie trempé dessus.
Sa main gauche remonta vers sa tête et ôta le chapeau, révélant l'identité du client. Ce n'était pas un grand visage de Basin City, mais ce n'était pas non plus la première fois que l'ainé Brown venait s'approvisionner ici.
Il posa un regard indifférent sur l'armurier, suivit de sa commande, tout cela sans la moindre forme de courtoisie :
- Un Colt Anaconda et deux paires de couteaux. Empaquetés.
Difficile de faire plus concis et clair. L'armurier dévisagea son interlocuteur puis tourna les talons pour aller chercher les armes demandées.
Ce fut rapide, en un instant, il était de retour avec la commande, bien emballée comme demandé, et ramassa les 520 dollars qui étaient apparus sur le comptoir.
L'échange se fit dans le silence le plus complet, Andrew hocha la tête puis remis son chapeau. Le paquet ou se trouvaient les armes se retrouva immédiatement enserré par son bras gauche contre son flanc, et le parapluie repris par la main droite.
A son tour, l'homme se retourna et se dirigea vers la sortie. Ouvrant la porte en grand, il déploya son parapluie noir et sortit des lieux sans se préoccuper de la porte qui se referma d'elle même un instant plus tard.
[ MJ : - 520 $ ]
Lentement, une silhouette entra, habillée d'un costard cravate impeccable, de belles chaussures cirées, une paire de gants noirs à faire pâlir de jalousie n'importe quel tueur à gages et un chapeau digne d'un vieux film de mafieux.
Comme pour annoncer sa présence, le parapluie qu'elle tenait dans sa main droite s'abaissa et fut refermé avant que le bout ne claque vivement sur le sol en éjectant la plupart des gouttelettes qui se trouvaient dessus.
L'armurier, occupé ou pas, se sera surement ramené au comptoir pour son client, ou pour descendre ce bourgeois présomptueux qui transformait son sol en mare aux canards. Celui-ci s'avança d'un pas ample au comptoir et posa son parapluie trempé dessus.
Sa main gauche remonta vers sa tête et ôta le chapeau, révélant l'identité du client. Ce n'était pas un grand visage de Basin City, mais ce n'était pas non plus la première fois que l'ainé Brown venait s'approvisionner ici.
Il posa un regard indifférent sur l'armurier, suivit de sa commande, tout cela sans la moindre forme de courtoisie :
- Un Colt Anaconda et deux paires de couteaux. Empaquetés.
Difficile de faire plus concis et clair. L'armurier dévisagea son interlocuteur puis tourna les talons pour aller chercher les armes demandées.
Ce fut rapide, en un instant, il était de retour avec la commande, bien emballée comme demandé, et ramassa les 520 dollars qui étaient apparus sur le comptoir.
L'échange se fit dans le silence le plus complet, Andrew hocha la tête puis remis son chapeau. Le paquet ou se trouvaient les armes se retrouva immédiatement enserré par son bras gauche contre son flanc, et le parapluie repris par la main droite.
A son tour, l'homme se retourna et se dirigea vers la sortie. Ouvrant la porte en grand, il déploya son parapluie noir et sortit des lieux sans se préoccuper de la porte qui se referma d'elle même un instant plus tard.
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Liam D. Torrance- Hors la loi
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Date d'inscription : 07/02/2010
Feuille de personnage
Pseudo: Crimson Guy
Âge: 37 ans
Arme portée: None
L'averse s'était abattue depuis déjà quelques heures et c'était elle aussi qui m'avait cueilli à la sortie glauque de mon train. Pour tout bagage, ce sac de toile que je transporte, changeant de main pour mieux reposer sa jumelle. Ce n'est pas tant le poids que le temps qui me force à cet exercice ennuyeux. De ma tête, un chapeau melon distingue ma silhouette de tout autre dans cette ville : ce vestige de ma face britannique trône sans complaisance, mordu par les trombes d'eau que le ciel coule sur la ville. Ma chevelure prisonnière de l'étreinte du feutre virevolte tant bien que mal près de mes tempes. Je crains d'avoir loupé l'heure du thé et je crains tout autant que les autochtones, en plus d'être totalement idiots pour la plupart, ne comprendraient pas cette habitude qui me distingue d'eux. Toute la délicatesse et la culture d'un homme se reflète dans sa boisson et n'importe qui capable d'apprécier un Earl Grey Straight devrait se voir gratifier d'une médailles, surtout parmi ces rustres. De ce qu'il me semble, les gens du coin aiment l'alcool, et d'avantage s'il est fort et ingurgité par litres entiers. Ce n'est qu'après quelques heures de marche humides qu'un bâtiment zébré par la météo surgit d'entre les ombres. Exactement ce qu'il me fallait. La vitrine fait miroiter quelques belles pièces, mais je veux quelque chose de fonctionnel et de fiable, le temps de la grosse œuvre n'est pas tout à fait venu. Trempé par les clients précédents, l'enceinte de l'armurerie semble être un lieu de passage fréquent. Déjà l'armurier me regarde, revient derrière son comptoir près duquel je devine quelque arme dissimulée pour contrer un éventuel braquage.
"Un Browning s'il-vous-plait."
Rien d'autre qu'une arme fine, équilibrée et à la crosse décorée d'un bois raffiné. Je délaisse les armes blanches, ne sachant que trop peu m'en servir. Le vendeur claque une boite sur le bois de son comptoir ; avec, un holster et deux chargeur ainsi que les munitions requises. Bien, espérons juste que je n'aurai pas à m'en servir trop tôt. Avec un signe discret je sors de la boutique. Allons arroser cette gorge désespérément sèche.
[Mj - 350$]
"Un Browning s'il-vous-plait."
Rien d'autre qu'une arme fine, équilibrée et à la crosse décorée d'un bois raffiné. Je délaisse les armes blanches, ne sachant que trop peu m'en servir. Le vendeur claque une boite sur le bois de son comptoir ; avec, un holster et deux chargeur ainsi que les munitions requises. Bien, espérons juste que je n'aurai pas à m'en servir trop tôt. Avec un signe discret je sors de la boutique. Allons arroser cette gorge désespérément sèche.
[Mj - 350$]
Stanislav Malievitch- Recrue
- Messages : 23
Date d'inscription : 27/03/2010
Feuille de personnage
Pseudo: ♠
Âge: 27 ans
Arme portée: Colt Anaconda
À peine j’ouvre la porte que le courant glacial de la rue s’immisce avec moi, comme une balle. Le gros derrière le comptoir avec son journal n’a même pas le temps de décoller ses yeux de cocker que mon indexe lui indique déjà la marche un suivre. Il y a un putain de Colt Anaconda derrière la vitrine, c’est celui-ci que je veux.
- Celui là, po'zhaluista.
Le type pose son journal, sort une clef et me tend l’objet convoité. Mon regard s‘illumine. Belle pièce, l’architecture est remarquable, avec ça, loger des balles dans des gens prend une allure plus artistique. J’aime bien, alors je file les biftons au type qui sert de vendeur et laisse un peu le John Wayne qui est en moi s’exprimer avant de fourrer mon holster. Inutile de se languir comme un gueux sur les autres trucs, j’ai pas les thunes conséquentes. Je me casse, avant de faire une connerie.
[Mj : -450 $]
Cassandre Ignatovich- Hors la loi
- Messages : 69
Date d'inscription : 02/02/2010
Age : 35
Feuille de personnage
Pseudo: Cassandre
Âge: 25 ans
Arme portée: Desert Eagle
Je marche sous la pluie depuis des plombes, j'en ai marre, je suis crevée et trempée et j'ai froid. Par dessus le marché, je toupine. J'ai pas le plan de la ville moi, et demander mon chemin a des passants, trop risqué... Finalement j'la trouve cette putin d'armurerie, au bout de quoi, 45 min ? Bref, je suis là, et bien contente, je pénètre à l'intérieur direction la vitrine. J'y connais rien en flingue moi, alors en tant que fille misons sur l'esthétisme. Après quelques minutes de réflexion j'interpelle le vendeur. je pointe mon doigt vers un flingue, un Desert Eagle.
"Je voudrais ce truc là."
A son sourire moqueur j'devine de suite ce qu'il est en train de penser et ça m'exaspère. Je le remercie de me rappeler ma condition de femme dans cette ville. C'est pour ça, en partie que j'en achete une cretin. Je balance les biftons devant la caisse, prend mon arme et me casse, direction, un squat ou un hôtel. Au pire un pont, ou un banc...
[-400$]
"Je voudrais ce truc là."
A son sourire moqueur j'devine de suite ce qu'il est en train de penser et ça m'exaspère. Je le remercie de me rappeler ma condition de femme dans cette ville. C'est pour ça, en partie que j'en achete une cretin. Je balance les biftons devant la caisse, prend mon arme et me casse, direction, un squat ou un hôtel. Au pire un pont, ou un banc...
[-400$]
Kane Ryben- Lieutenant
- Messages : 34
Date d'inscription : 01/04/2010
Feuille de personnage
Pseudo: Kane Ryben
Âge: 47
Arme portée: King Cobra/Browning GP35/couteau papillon
Arrivé à Basin City. Je m'étais rencardé pour savoir ce qui m'attendais, c'est pas vraiment reluisant. D'un côté, le méritait le connard de Secrétaire de mes deux. Des bureaucrates à qui il faudrait satisfaire toutes les exigences, surtout en termes de procédures. Ils n'en ont rien à foutre qu'en vingt ans, j'ai perdu dix-sept collègues en suivant le code de Police. Rien. Parce les gangsters suivent peut-être un code, eux ? Il n'y a jamais eu de gangster honnête. A partir du moment où on transgresse la seule loi possible, il n'y a plus de règles, plus rien. Seules restent la loi de la Jungle et celle du Talion. Et à ce sujet, de ce que j'en ai entendu, ... Vaut mieux pas arriver découvert dans cette ville qui respire, qui suinte la pourriture. Avant d'aller saluer Madame le Capitaine, il me faut
- mon outil de travail
- un verre
Et ça, ça ne souffre aucune discussion. Bordel, j'ai pas affronté terroristes, gangsters et cravatés pour me retrouver dans le caniveau de Basin.
Le tintement fatigué de la clochette annonce mon entrée. Comme disait un de mes amis: j'ai des goûts simples mais précis.
" King Cobra, Browning GP35, couteau papillon. "
Les 875$ sont sur la table avant même qu'il ait besoin de m'énoncer le tarif. A peine arrivé en ville, me voila déjà fauché. En même temps, vaut mieux être un fauché vivant qu'un mort plein aux as. Je prends également un harnais pour attacher le holster du Cobra sous l'aisselle. Le GP35 trouvant sa place à l'arrière de mon pantalon.
" Merci King Kong. J't'en voudrai pas de ne pas m'avoir demandé mon permis. "
J'ai toujours pensé que la meilleure manière de foutre un coup d'plomb dans l'aile à la criminalité aurait été d'interdire la vente d'armes aux personnes non habilitées. Mais il y a cette putain de Constitution avec ces putains d'Amendements qui permettent à ces connards de petites frappes de se croire "cools" s'ils pouvaient réitérer Columbia. Alors, nous voila avec ces intouchables que sont les armureries où viennent se servir aussi bien Mafieux que des Condés comme moi, z'ont tout compris ces mecs... Faudrait juste qu'un jour, y en ait un qui se fasse descendre avec sa came, ça m'ferait m'fendre la gueule.
Me voila dehors ... Où j'en étais moi ? Reprenons la liste:
- mon outil de travail, ça, c'est fait !
- un verre maintenant !
Direction le Kadie's.
[-875$]
- mon outil de travail
- un verre
Et ça, ça ne souffre aucune discussion. Bordel, j'ai pas affronté terroristes, gangsters et cravatés pour me retrouver dans le caniveau de Basin.
Le tintement fatigué de la clochette annonce mon entrée. Comme disait un de mes amis: j'ai des goûts simples mais précis.
" King Cobra, Browning GP35, couteau papillon. "
Les 875$ sont sur la table avant même qu'il ait besoin de m'énoncer le tarif. A peine arrivé en ville, me voila déjà fauché. En même temps, vaut mieux être un fauché vivant qu'un mort plein aux as. Je prends également un harnais pour attacher le holster du Cobra sous l'aisselle. Le GP35 trouvant sa place à l'arrière de mon pantalon.
" Merci King Kong. J't'en voudrai pas de ne pas m'avoir demandé mon permis. "
J'ai toujours pensé que la meilleure manière de foutre un coup d'plomb dans l'aile à la criminalité aurait été d'interdire la vente d'armes aux personnes non habilitées. Mais il y a cette putain de Constitution avec ces putains d'Amendements qui permettent à ces connards de petites frappes de se croire "cools" s'ils pouvaient réitérer Columbia. Alors, nous voila avec ces intouchables que sont les armureries où viennent se servir aussi bien Mafieux que des Condés comme moi, z'ont tout compris ces mecs... Faudrait juste qu'un jour, y en ait un qui se fasse descendre avec sa came, ça m'ferait m'fendre la gueule.
Me voila dehors ... Où j'en étais moi ? Reprenons la liste:
- mon outil de travail, ça, c'est fait !
- un verre maintenant !
Direction le Kadie's.
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Vesper Giancana- Capitaine
- Messages : 17
Date d'inscription : 22/03/2010
J’ai appelé un taxi, j’ai pas de voiture et avec mes goûts de luxe elle finirait bien vite cramer dans l’allée. Il ne m’aura fallu que quelques minutes pour arriver à destination, je paie la course, rejoindre le commissariat par la suite ne me prendra pas même une demi-heure à pieds. Avant de rentrer dans l’établissement je m’allume une clope, la clope du matin, c’est important. Une main dans la poche de ma veste j’observe quelques instants les alentours. C’est fou ce que Basin peut être calme entre 7h et 8h du matin. L’accalmie de la journée, j’ai jamais vraiment compris pourquoi. J’hausse les épaules, j’ai tout mon temps, quelque chose me dit qu’il n’y aura pas grand monde au comico quand j’arriverais. J’écrase ma clope du talon et entre dans le magasin. Pas besoin de regarder la vitrine, je sais ce dont j’ai besoin, alors je m’avance vers le comptoir et sors mon plus beau sourire à King Kong.
« Un beretta et un colt detective »
En attendant de voir les flingues venir vers leur nouvelle maitrise je sors les billets que je pose nonchalamment sur le comptoir. 850 $, le compte est bon. Je prends mes nouveaux jouets, dans l’espoir de pouvoir m’en servir très bientôt. Je ressors, c’est une belle journée qui s’annonce.
[-850$]
« Un beretta et un colt detective »
En attendant de voir les flingues venir vers leur nouvelle maitrise je sors les billets que je pose nonchalamment sur le comptoir. 850 $, le compte est bon. Je prends mes nouveaux jouets, dans l’espoir de pouvoir m’en servir très bientôt. Je ressors, c’est une belle journée qui s’annonce.
[-850$]
Annabel Desormiers- Tapineuse
- Messages : 18
Date d'inscription : 01/04/2010
Feuille de personnage
Pseudo: Alicia Lewis
Âge: 23
Arme portée: Glock .19 et Kukri
(Depuis le Centre-Ville)
Épuisée par sa longue marche, Annabel resta longtemps devant la vitrine à jongler avec les prix et les objets, pensive. De ses cinq cent dollars, elle en avait déjà entamé plus du tiers en fringues et en pension. Elle n'avait plus beaucoup de moyens...
Elle finit par envoyer le budget au diable et entra dans la boutique qui fit tinter sa petite clochette.
"Bonjour! Je prendrais le petit glock, là-bas, et un kukri...ça sera tout..."
Elle étala les trois cent soixante cinq dollars annoncés avec regret, considérant la somme dérisoire qui attendait dans son portefeuille la prochaine fringale qui la ferait se volatiliser et la laisser définitivement sans ressource.
Mais la rue, elle avait connu, et comparativement à Montréal en Janvier, Basin en été, ce n'était déjà pas si mal. D'ici quelques jours, la plupart de ses ecchymoses ne seraient plus qu'un pâle souvenir sur sa peau, sa main demanderait un bandage moins volumineux, et elle pourrait recommencer à travailler et à gagner son pain. Elle préférait ne pas penser à ce qui l'attendait durant ces quelques jours, surtout si elle ne trouvait pas de médicaments et qu,une infection finisse par se déclarer.
Elle chassa ses inquiétudes dans un haussement d'épaule. Sur le macadam, il faut vivre au jour le jour, sans se soucier de l'avenir, pour ne pas perdre complètement la tête.
Émerveillée par la facilité toute américaine d'acheter une arme de poing, elle remercia le vendeur et sortit, ses achats dans son sac de jean. Elle se souvint avoir vu, au Centre-Ville, un bar qui semblait fréquenté à toutes heures du jour ou de la nuit. D'ailleurs, la journée était déjà passablement entamée, le soleil bas à l'horizon; Basin était une grande ville dans laquelle Annabel s'était souvent perdue, allongeant encore un trajet déjà considérable. Ses pieds lui faisaient un mal de chien dans ses souliers encore habités de son ancienne propriétaire.
Elle décida de mettre le cap sur ce qui semblait le phare de la ville, l'endroit parfait où écluser ses derniers dollars sur une Guiness et peut-être un whisky on the rock, si elle trouvait un type pour lui en payer un.
(À suivre au Kadie's ->)
Épuisée par sa longue marche, Annabel resta longtemps devant la vitrine à jongler avec les prix et les objets, pensive. De ses cinq cent dollars, elle en avait déjà entamé plus du tiers en fringues et en pension. Elle n'avait plus beaucoup de moyens...
Elle finit par envoyer le budget au diable et entra dans la boutique qui fit tinter sa petite clochette.
"Bonjour! Je prendrais le petit glock, là-bas, et un kukri...ça sera tout..."
Elle étala les trois cent soixante cinq dollars annoncés avec regret, considérant la somme dérisoire qui attendait dans son portefeuille la prochaine fringale qui la ferait se volatiliser et la laisser définitivement sans ressource.
Mais la rue, elle avait connu, et comparativement à Montréal en Janvier, Basin en été, ce n'était déjà pas si mal. D'ici quelques jours, la plupart de ses ecchymoses ne seraient plus qu'un pâle souvenir sur sa peau, sa main demanderait un bandage moins volumineux, et elle pourrait recommencer à travailler et à gagner son pain. Elle préférait ne pas penser à ce qui l'attendait durant ces quelques jours, surtout si elle ne trouvait pas de médicaments et qu,une infection finisse par se déclarer.
Elle chassa ses inquiétudes dans un haussement d'épaule. Sur le macadam, il faut vivre au jour le jour, sans se soucier de l'avenir, pour ne pas perdre complètement la tête.
Émerveillée par la facilité toute américaine d'acheter une arme de poing, elle remercia le vendeur et sortit, ses achats dans son sac de jean. Elle se souvint avoir vu, au Centre-Ville, un bar qui semblait fréquenté à toutes heures du jour ou de la nuit. D'ailleurs, la journée était déjà passablement entamée, le soleil bas à l'horizon; Basin était une grande ville dans laquelle Annabel s'était souvent perdue, allongeant encore un trajet déjà considérable. Ses pieds lui faisaient un mal de chien dans ses souliers encore habités de son ancienne propriétaire.
Elle décida de mettre le cap sur ce qui semblait le phare de la ville, l'endroit parfait où écluser ses derniers dollars sur une Guiness et peut-être un whisky on the rock, si elle trouvait un type pour lui en payer un.
(À suivre au Kadie's ->)
Adam Flint- Lieutenant
- Messages : 26
Date d'inscription : 27/04/2010
Feuille de personnage
Pseudo: Adam Flint
Âge: 28
Arme portée: Smith & Wesson M40
Je raccroche le téléphone en descendant de la voiture, demandant au taxi de m'attendre quelques minutes. Je n'en ai pas pour longtemps.
Je rentre donc dans l'armurerie et m'approche donc du comptoir. Je regarde quelques instant le magasin avec suspicion. Tout n'est pas très légal ici...certaines armes ne devraient pas être en vente libre. Mais soit, je ne suis pas là pour ça...
Je cherche un Sig-Sauer P226, un Glock 22, un Beretta 96 ou un Smith et Wesson M40.
Je sens un regard interrogatif se poser sur moi...
J'vous sort direct une boite de .40 S&W j'suppose? FBI?
Pour toute réponse je sors ma carte, avant de la ranger à l'interieur de ma veste.
Régles du bureau.
Dans vot' liste, pis simplement dans l'calibre q'vous cherchez, j'ai du Smith et Wesson M40. Apres j'ai des modéles proches pour le Glock et l'Beretta.
Le Smith et Wesson conviendra.
Il prend donc un M40, me le montrant avec professionalisme, me donnant plein d'informations que je connais déjà...
Le Smith et Wesson M40, pistolet automatique, chambré en .40 S&W. Possède un chargeur de 11 coup. Pése 1,10kg pour 20cm. C'est une bonne arme, robuste et efficace.
Mettez moi un holster de ceinture avec ça. Et egalement un Colt detective special.
L'arme d'la dernière chance, hein?
C'est ça.
Je rentre donc dans l'armurerie et m'approche donc du comptoir. Je regarde quelques instant le magasin avec suspicion. Tout n'est pas très légal ici...certaines armes ne devraient pas être en vente libre. Mais soit, je ne suis pas là pour ça...
Je cherche un Sig-Sauer P226, un Glock 22, un Beretta 96 ou un Smith et Wesson M40.
Je sens un regard interrogatif se poser sur moi...
J'vous sort direct une boite de .40 S&W j'suppose? FBI?
Pour toute réponse je sors ma carte, avant de la ranger à l'interieur de ma veste.
Régles du bureau.
Dans vot' liste, pis simplement dans l'calibre q'vous cherchez, j'ai du Smith et Wesson M40. Apres j'ai des modéles proches pour le Glock et l'Beretta.
Le Smith et Wesson conviendra.
Il prend donc un M40, me le montrant avec professionalisme, me donnant plein d'informations que je connais déjà...
Le Smith et Wesson M40, pistolet automatique, chambré en .40 S&W. Possède un chargeur de 11 coup. Pése 1,10kg pour 20cm. C'est une bonne arme, robuste et efficace.
Mettez moi un holster de ceinture avec ça. Et egalement un Colt detective special.
L'arme d'la dernière chance, hein?
C'est ça.
Nikita Pierce- Officier
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Date d'inscription : 01/04/2010
Feuille de personnage
Pseudo: Nikita
Âge: 20
Arme portée:
J'arrive en trainant des pieds devant l'armurerie croullant sous les sacs de fringues comme un soir de sodes, l'épisode de la fripperie ça c'était du grand cinéma quand j' y repense je me dit que c'est des combines comme ça qui font que les hommes ont ce que j'ai toujours envisagé comme de nombreux aventages sur les femmes : s'habiller sans se poser de question, échapper à la torture épilatoire et pouvoir pisser n'importe oû. En arrivant à la boutique je me demandais d' un air enjoué comment cette scéance de shoping allait se dérouler, mais de shoping je n'en vit que le nom.
En arrivant le bonhomme se planta au beau millieu du magasin les bras croisés d'un air débonnaire et récita comme une liste de course ce qu'il fallais à cette gamine aux abords coincés qui l'accompagnais, aquiessant aux propositions d'une vendeuse affolée.
Un costume type tailleur version pantalon et jupe mi-mollet à vue de nez taille trente six, une collection de t-shirt col en V et chemisettes moulantes assortis de jeans cigarettes taille haute, une veste noire trois quarts ceintrée à la taille, Bottines à talons grises, escarpins noirs vernis, soutiens-gorges rembourés et une robe de soirée dont le choix me revint enfin longue fendue à mi cuisse en soie rouge drapée et plissée en deux roses parallèles sur les hanches.
Auxquels je rajoutais une bonne paire de baskets américaines et des bas.
Offusquée de me voir rejetter l'adittion quand vint le moment de payer je découvrit dans le tas le fammeux short façon tomb raider qui m'arracha un sourire, toi mon coco tu me seras tres utile pour faire la poussière au fond de mon placard.
J'allais repenser à la façon dont plus de la moité des économies que j'avais faites avent de partir venanient de se volatiliser quand Kane me saisit par le col pour me pousser à l' interieur comme si mon poid n'exédais pas celui d'un insecte.
En arrivant le bonhomme se planta au beau millieu du magasin les bras croisés d'un air débonnaire et récita comme une liste de course ce qu'il fallais à cette gamine aux abords coincés qui l'accompagnais, aquiessant aux propositions d'une vendeuse affolée.
Un costume type tailleur version pantalon et jupe mi-mollet à vue de nez taille trente six, une collection de t-shirt col en V et chemisettes moulantes assortis de jeans cigarettes taille haute, une veste noire trois quarts ceintrée à la taille, Bottines à talons grises, escarpins noirs vernis, soutiens-gorges rembourés et une robe de soirée dont le choix me revint enfin longue fendue à mi cuisse en soie rouge drapée et plissée en deux roses parallèles sur les hanches.
Auxquels je rajoutais une bonne paire de baskets américaines et des bas.
Offusquée de me voir rejetter l'adittion quand vint le moment de payer je découvrit dans le tas le fammeux short façon tomb raider qui m'arracha un sourire, toi mon coco tu me seras tres utile pour faire la poussière au fond de mon placard.
J'allais repenser à la façon dont plus de la moité des économies que j'avais faites avent de partir venanient de se volatiliser quand Kane me saisit par le col pour me pousser à l' interieur comme si mon poid n'exédais pas celui d'un insecte.
Kane Ryben- Lieutenant
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Date d'inscription : 01/04/2010
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Pseudo: Kane Ryben
Âge: 47
Arme portée: King Cobra/Browning GP35/couteau papillon
" Allez, d'dans, j't'ai dit. T'en as pas marre de te geler les miches ? Ah King Kong, j'ai besoin de tes services. Tu bouges, pas trop, hein ? "
J'mets mon index pile devant l'visage histoire de figer l'temps. Autour, les oiseaux s'arrêtent de pépier gentiment. On est v'nus ici pour s'prendre du calibre.
Du bon calibre. Du genre à te décalquer une grand-mère à travers trois épaisseurs de parpaing.
Alors, j'regarde c'qu'il a en stock, le padre et puis mes yeux s'arrêtent sur telle courbe, telle détente, telle bouche à feu. Ouais, ça manque de variété mais bon. On est pas à la C.I.A. ici.
Bon, c'pas tout mais faut réfléchir à ce qu'elle peut porter, la tiote.
Berreta, Glock ...
Ouais, j'vois guère que ça.
Après, une paire de coutards, ptêt... Des fois qu'il y ait une urgence ou des burnes à trancher.
" Nikita. J'te conseillerai Glock ou le ptit Italien. 'Fin, tu r'gardes ce qui te va le mieux en main. Et fais pas c'te tête, t'es à l'armurerie, pas à la morgue. Bon, pas d'fantaisie type mitrailleuse d'hélico, hein ? J'veux du discret, mais du percutant.
Tiens, King Kong, en attendant, mets-lui une paire de couteaux, avec un bel étui en cuir, s'il-tô-please.
Des questions, Niki ? Ou on a fini la pénible expérience shopping ? "
J'mets mon index pile devant l'visage histoire de figer l'temps. Autour, les oiseaux s'arrêtent de pépier gentiment. On est v'nus ici pour s'prendre du calibre.
Du bon calibre. Du genre à te décalquer une grand-mère à travers trois épaisseurs de parpaing.
Alors, j'regarde c'qu'il a en stock, le padre et puis mes yeux s'arrêtent sur telle courbe, telle détente, telle bouche à feu. Ouais, ça manque de variété mais bon. On est pas à la C.I.A. ici.
Bon, c'pas tout mais faut réfléchir à ce qu'elle peut porter, la tiote.
Berreta, Glock ...
Ouais, j'vois guère que ça.
Après, une paire de coutards, ptêt... Des fois qu'il y ait une urgence ou des burnes à trancher.
" Nikita. J'te conseillerai Glock ou le ptit Italien. 'Fin, tu r'gardes ce qui te va le mieux en main. Et fais pas c'te tête, t'es à l'armurerie, pas à la morgue. Bon, pas d'fantaisie type mitrailleuse d'hélico, hein ? J'veux du discret, mais du percutant.
Tiens, King Kong, en attendant, mets-lui une paire de couteaux, avec un bel étui en cuir, s'il-tô-please.
Des questions, Niki ? Ou on a fini la pénible expérience shopping ? "
Nikita Pierce- Officier
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Date d'inscription : 01/04/2010
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Pseudo: Nikita
Âge: 20
Arme portée:
Je râle, en jettant un oeil aux armes posées devant moi.
« Bon ça va pas la peine de me brutaliser ! Le berreta, je prends ça. »
Celui la je l'ai déjà utilisé c'est comme un vieil ami qui reviens de loin, dans un autre style y a le truc la en forme d'éventail, j'ai aucune idée de comment on peut l'utiliser mais c'est sympa. Enfin bref pas de fric ça seras pour une prochaine.
Je sais que j'y met de la mauvaise volonté mais c'est l'humeur du moment. Je me contiens et fait un effort pour paraître plus détendue mais ce lieu m'inspire pas confiance, nous sommes les seuls clients et encore heureux j'aurais trop l'impression d'etre la nana en burka sur une plage de nudistes.
J'avence un sourire en m'efforçant de ne pas paraître trop constipée et la joue à la dure.
« Ouais les fringues, t'sais ce que c'est... »
Il me regarde d'un air bizare et tout de suite je me sent de nouveau mal à l'aise, le tutoiement je sais pas c'est pas naturel, quand il s'adresse à moi c'est comme si y avais rien de plus normal. A mon age on oscille encore entre les deux et on proteste méchament quand la caissière du supermarché à l'audace de nous sortir du « madame ». MADEMOISELLE ! On réplique sur un air entendu, l'air de dire à la lycéenne légerment abrutie du magasin que madame elle peut se le garder pour sa mère.
C'est pour ça que je corrige immédiatement en baffouillant.
Vous, euh... tu...Non non c'était une séance de shoping tres agréable, Kane... Je peux vous appeler Kane ?
Silence
Je parle encore trop.
Il à l'air d'hésiter entre le rire et l'étonnement sous un masque d'impascibilité plutot bien maitrisé, je me sent rougir jusqu'aux oreilles. Je dois avoir un don naturel pour ce qui est de me mettre dans des situations saugrenues, mais il semble que ma raison se soit fissurée pendant le trajet car c'est alors que j'éclate d'un rire nerveux et tonitruant sous l'oeil perplexe du gorille au comptoir.
Une petite voix dans ma tête me souffle « Alors on a cassé la boite à rire? » une petite phrase que me disait mon père quand j'étais enfant. Je dois etre tres légèrement bipolaire, ou alors c'est les hormones...Mon stress m'étouffe brutalement et une bouffée de chaleur me ceint la poitrine comme un étau, ma vision se trouble et...
Nikita s'éffondre en plein millieu du magasin faisant virevolter les sacs de vetements dont le contenu s'éparpille autour d'elle.
Quand je reviens à moi après ce que j'estime n'avoir été que quelques secondes,quelque chose m'empèche de voir la lumière, c'est alors que je comprends l'origine de ma cécité avent de l'écarter d'un revers de la main.
Saleté de short !!!
Fébrile je ramasse mes affaires, sans dire un mot je paye mes achats et les oublies sur le comptoir, faut que j' aille prendre l' air...
« Bon ça va pas la peine de me brutaliser ! Le berreta, je prends ça. »
Celui la je l'ai déjà utilisé c'est comme un vieil ami qui reviens de loin, dans un autre style y a le truc la en forme d'éventail, j'ai aucune idée de comment on peut l'utiliser mais c'est sympa. Enfin bref pas de fric ça seras pour une prochaine.
Je sais que j'y met de la mauvaise volonté mais c'est l'humeur du moment. Je me contiens et fait un effort pour paraître plus détendue mais ce lieu m'inspire pas confiance, nous sommes les seuls clients et encore heureux j'aurais trop l'impression d'etre la nana en burka sur une plage de nudistes.
J'avence un sourire en m'efforçant de ne pas paraître trop constipée et la joue à la dure.
« Ouais les fringues, t'sais ce que c'est... »
Il me regarde d'un air bizare et tout de suite je me sent de nouveau mal à l'aise, le tutoiement je sais pas c'est pas naturel, quand il s'adresse à moi c'est comme si y avais rien de plus normal. A mon age on oscille encore entre les deux et on proteste méchament quand la caissière du supermarché à l'audace de nous sortir du « madame ». MADEMOISELLE ! On réplique sur un air entendu, l'air de dire à la lycéenne légerment abrutie du magasin que madame elle peut se le garder pour sa mère.
C'est pour ça que je corrige immédiatement en baffouillant.
Vous, euh... tu...Non non c'était une séance de shoping tres agréable, Kane... Je peux vous appeler Kane ?
Silence
Je parle encore trop.
Il à l'air d'hésiter entre le rire et l'étonnement sous un masque d'impascibilité plutot bien maitrisé, je me sent rougir jusqu'aux oreilles. Je dois avoir un don naturel pour ce qui est de me mettre dans des situations saugrenues, mais il semble que ma raison se soit fissurée pendant le trajet car c'est alors que j'éclate d'un rire nerveux et tonitruant sous l'oeil perplexe du gorille au comptoir.
Une petite voix dans ma tête me souffle « Alors on a cassé la boite à rire? » une petite phrase que me disait mon père quand j'étais enfant. Je dois etre tres légèrement bipolaire, ou alors c'est les hormones...Mon stress m'étouffe brutalement et une bouffée de chaleur me ceint la poitrine comme un étau, ma vision se trouble et...
Nikita s'éffondre en plein millieu du magasin faisant virevolter les sacs de vetements dont le contenu s'éparpille autour d'elle.
Quand je reviens à moi après ce que j'estime n'avoir été que quelques secondes,quelque chose m'empèche de voir la lumière, c'est alors que je comprends l'origine de ma cécité avent de l'écarter d'un revers de la main.
Saleté de short !!!
Fébrile je ramasse mes affaires, sans dire un mot je paye mes achats et les oublies sur le comptoir, faut que j' aille prendre l' air...
Kane Ryben- Lieutenant
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Pseudo: Kane Ryben
Âge: 47
Arme portée: King Cobra/Browning GP35/couteau papillon
" Kane, c'est bien. "
Ca sonne comme une mauvaise marque de lessiveuse. J'ai la banane sur l'visage et une langue impatiente de s'humecter. C'est pas folichon d'puis ce matin et j'peux dire que la séance shopping, ça m'a un peu mis à plat.'Reusement, elle a pas l'air trop chiante, la gosse. Encore heureux, soit-dit en passant, j'aime pas les filles chiantes.
Puis, v'la-t-y pas que d'un coup, elle part d'un trip complètement nerveux, ge^nre l'hystérie. King Kong la regarde, me regarde. Je la regarde, le regarde. On s'regarde quoi. Alors, j'm'assieds sur le comptoir, comme ça, les jambes ballotant dans l'vide, à regarder c'te cave cul par dessus tête, qu'est en train de ronfler dans son short Tomb Raider.
" T'inquiète pas, King Kong. Elle fait ça souvent. Ca veut dire qu'elle t'aime bien. "
Bref, blague à part et banane exceptée, j'dois m'dire quand même qu'il faudrait pas qu'elle me fasse ça en plein milieu d'une fusillade. Sinon, ça va chier pour sa gueule. Rien que par esprit de contradiction, j'serais foutu de survivre et de lui balancer ma manière de penser d'une manière peu délicate.
Bref, ça dure pas longtemps son malaise, la v'là déjà qui s'remet debout. Elle bafouille dans sa barbe deux ou trois trucs bizarres avant de ramasser son short et ses affaires et d'se tirer, avec avoir allongé les biftons ... Sans prendre flingues et munitions.
Les femmes...
Et après, ce sont nous, les hommes, les têtes en l'air. J'baille de lassitude avant d'chopper le fameux berreta, les coutards et d'faire un clin d'oeil au dirigeant. M'vla dehors. En train de humer le barreau que j'ai envie d'me tirer.
Dieu qu'il a l'air bon, en plus, ce barreau. J'le remballe dans la veste. J'vois la p'tiote pas loin, encore sous le choc, visiblement.
" Ca a pas l'air d'être la grande forme, Nikita. J'me demande si j'vais te laisser faire mumuse avec des jouets pour adultes. "
Avec un sadisme qui m'étonne moi-même, je lui mets sous le nez le fameux sac contenant les armes fraîchement achetées. J'ai un doute sur sa santé mentale mais j'en ai aussi sur n'importe qui dans cette ville, alors, j'vais pas jouer mon chiant, on va aller poser dans un appart tranquille pour la demoiselle et basta la commeddia pour aujourd'hui.
" Un truc pour que ça se passe bien entre nous. Si c'était la manifestation d'un excès de drogue quelconque ... J'passerai l'éponge pour la seule et unique fois. Si jamais je te prends en train de te faire un rail ou un shot, je te tue.
...
T'as un endroit où dormir ?"
Ca sonne comme une mauvaise marque de lessiveuse. J'ai la banane sur l'visage et une langue impatiente de s'humecter. C'est pas folichon d'puis ce matin et j'peux dire que la séance shopping, ça m'a un peu mis à plat.'Reusement, elle a pas l'air trop chiante, la gosse. Encore heureux, soit-dit en passant, j'aime pas les filles chiantes.
Puis, v'la-t-y pas que d'un coup, elle part d'un trip complètement nerveux, ge^nre l'hystérie. King Kong la regarde, me regarde. Je la regarde, le regarde. On s'regarde quoi. Alors, j'm'assieds sur le comptoir, comme ça, les jambes ballotant dans l'vide, à regarder c'te cave cul par dessus tête, qu'est en train de ronfler dans son short Tomb Raider.
" T'inquiète pas, King Kong. Elle fait ça souvent. Ca veut dire qu'elle t'aime bien. "
Bref, blague à part et banane exceptée, j'dois m'dire quand même qu'il faudrait pas qu'elle me fasse ça en plein milieu d'une fusillade. Sinon, ça va chier pour sa gueule. Rien que par esprit de contradiction, j'serais foutu de survivre et de lui balancer ma manière de penser d'une manière peu délicate.
Bref, ça dure pas longtemps son malaise, la v'là déjà qui s'remet debout. Elle bafouille dans sa barbe deux ou trois trucs bizarres avant de ramasser son short et ses affaires et d'se tirer, avec avoir allongé les biftons ... Sans prendre flingues et munitions.
Les femmes...
Et après, ce sont nous, les hommes, les têtes en l'air. J'baille de lassitude avant d'chopper le fameux berreta, les coutards et d'faire un clin d'oeil au dirigeant. M'vla dehors. En train de humer le barreau que j'ai envie d'me tirer.
Dieu qu'il a l'air bon, en plus, ce barreau. J'le remballe dans la veste. J'vois la p'tiote pas loin, encore sous le choc, visiblement.
" Ca a pas l'air d'être la grande forme, Nikita. J'me demande si j'vais te laisser faire mumuse avec des jouets pour adultes. "
Avec un sadisme qui m'étonne moi-même, je lui mets sous le nez le fameux sac contenant les armes fraîchement achetées. J'ai un doute sur sa santé mentale mais j'en ai aussi sur n'importe qui dans cette ville, alors, j'vais pas jouer mon chiant, on va aller poser dans un appart tranquille pour la demoiselle et basta la commeddia pour aujourd'hui.
" Un truc pour que ça se passe bien entre nous. Si c'était la manifestation d'un excès de drogue quelconque ... J'passerai l'éponge pour la seule et unique fois. Si jamais je te prends en train de te faire un rail ou un shot, je te tue.
...
T'as un endroit où dormir ?"
Nikita Pierce- Officier
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Date d'inscription : 01/04/2010
Feuille de personnage
Pseudo: Nikita
Âge: 20
Arme portée:
Une fois sortie de l'armurerie, j'inspire un bon coup.
Je sent le malaise se disiper, c'est déjà ça. Bon c'est pas tout mais voilà Kane qui sort et qui m'agite le flingue sous le nez comme un susucre à un clebard, bon d'accord je récupère tout mon bordel et zou on met les voiles.
Pendant que je ramasse les sacs autour de moi je designe le joujou en question du menton avent de répliquer avec impertinence :
« T'inquiette pas va, ce jouet la je sais comment le faire partir... Quand à la drogue jamais pendant le service mais merci quand même , j'y repenserais pour une prochaine.»
En partant je lui lance que l'hotel est payé d'avance, il me reste deux jours avant de devoir trouver un appart. Mais comment dire c'est pas que je suis fauchée mais presque quand même...
Je sent le malaise se disiper, c'est déjà ça. Bon c'est pas tout mais voilà Kane qui sort et qui m'agite le flingue sous le nez comme un susucre à un clebard, bon d'accord je récupère tout mon bordel et zou on met les voiles.
Pendant que je ramasse les sacs autour de moi je designe le joujou en question du menton avent de répliquer avec impertinence :
« T'inquiette pas va, ce jouet la je sais comment le faire partir... Quand à la drogue jamais pendant le service mais merci quand même , j'y repenserais pour une prochaine.»
En partant je lui lance que l'hotel est payé d'avance, il me reste deux jours avant de devoir trouver un appart. Mais comment dire c'est pas que je suis fauchée mais presque quand même...
Kane Ryben- Lieutenant
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Pseudo: Kane Ryben
Âge: 47
Arme portée: King Cobra/Browning GP35/couteau papillon
Dis donc la p'tite, va pas falloir qu'elle croie que je me la joue police des moeurs. On est à Sin City, certes, pas à Bisounoursland, mais s'il y a un truc sur lequel j'ai jamais transigé, c'est la dope.
Un coup à droite, un coup à gauche, okay. Mais j'ai eu des collègues qui se sont poudrés le nez, ça a toujours mal fini.
Alors, j'prends mon temps pour la toiser des deux têtes de plus que je mesure et de pointer nonchalamment un doigt de batteur d'armure sur elle.
" Ai-je mentionné "pendant le service" pour la dope ? Tant que t'es mon équipière, t'y touche pas. Point barre. "
Sans blague. Déjà qu'elle me tape un malaise en plein chez King Kong, v'la en plus qu'elle me balance des sous-entendus graveleux la p'tiote. Non pas que ça me pourrisse les méninges mais ça commence à gentiment me courir sur les noisettes.
Va falloir qu'on cause, elle et moi.
Qu'on cause boulot.
On a le choix entre mener une carrière bien pépère et faire un truc façon Bonnie & Clyde du côté des gentils. Ca s'rait marrant.
Je vais lui laisser passer un peu de temps histoire qu'elle prenne ses repaires e tutti quanti.
" Bien, j'te laisse 24H histoire de te refaire une santé et de prendre tes repaires ici. Après, on discutera travail et avenir, si tant est qu'on en est dans c'te rade merdique. Je pense pas que tu sois sortie toute fraîche de l'Académie ici pour te tourner les pouces...
Voila le numéro où tu peux me joindre. Ne le note nulle part. "
Je lui donne une série de chiffres et attends d'elle qu'elle me refile de la même manière son numéro de bigophone. Sacré bout d'femme la p'tite, j'espère qu'elle se fera pas défroisser en chemin, ça me tirerait ptêt une larme. Encore que ...
Une fois que j'ai son numéro, j'la salue avec un grand sourire et j'pars vadrouiller, à la recherche de repères dans c'te ville minable qu'a la fâcheuse tendance à m'éveiller des souvenirs, pas forcément de ceux que je voudrais garder en fait.
Un coup à droite, un coup à gauche, okay. Mais j'ai eu des collègues qui se sont poudrés le nez, ça a toujours mal fini.
Alors, j'prends mon temps pour la toiser des deux têtes de plus que je mesure et de pointer nonchalamment un doigt de batteur d'armure sur elle.
" Ai-je mentionné "pendant le service" pour la dope ? Tant que t'es mon équipière, t'y touche pas. Point barre. "
Sans blague. Déjà qu'elle me tape un malaise en plein chez King Kong, v'la en plus qu'elle me balance des sous-entendus graveleux la p'tiote. Non pas que ça me pourrisse les méninges mais ça commence à gentiment me courir sur les noisettes.
Va falloir qu'on cause, elle et moi.
Qu'on cause boulot.
On a le choix entre mener une carrière bien pépère et faire un truc façon Bonnie & Clyde du côté des gentils. Ca s'rait marrant.
Je vais lui laisser passer un peu de temps histoire qu'elle prenne ses repaires e tutti quanti.
" Bien, j'te laisse 24H histoire de te refaire une santé et de prendre tes repaires ici. Après, on discutera travail et avenir, si tant est qu'on en est dans c'te rade merdique. Je pense pas que tu sois sortie toute fraîche de l'Académie ici pour te tourner les pouces...
Voila le numéro où tu peux me joindre. Ne le note nulle part. "
Je lui donne une série de chiffres et attends d'elle qu'elle me refile de la même manière son numéro de bigophone. Sacré bout d'femme la p'tite, j'espère qu'elle se fera pas défroisser en chemin, ça me tirerait ptêt une larme. Encore que ...
Une fois que j'ai son numéro, j'la salue avec un grand sourire et j'pars vadrouiller, à la recherche de repères dans c'te ville minable qu'a la fâcheuse tendance à m'éveiller des souvenirs, pas forcément de ceux que je voudrais garder en fait.
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