Après une longue route, le taxi vient me déposer devants le motel où, ce matin, j'avais réservé une chambre et déposé ma valise.
À l'accueil, un homme dégarnit et rondouillard, d'une cinquantaine d'année, semblant crouler sous le poids des dettes accumulées, me tend la clé de ma chambre d'un air las.
Je monte au premier étage et ouvre la porte, qui grince bruyamment tandis que je la pousse.
Les choses sont comme je les ai laissé. Ma valise est toujours ouverte sur le couvre lit poussiéreux et vieillot.
Je commence à me déshabiller, glissant mon costume sur un cintre, la chemise allant échouer sur mon lit.
L'eau glaciale s'écoule lentement sous ma peau tandis que, assis au fond de la douche, les yeux dressé vers le plafond, je laisse la fine pluie marteler mon corps.
Lorsque je me réveillé le lendemain matin, la télévision est encore allumée sur la chaine sur laquelle je l'ai laissée.
Je me lève pour l'éteindre et entreprend de m'habiller, prenant une nouvelle chemise dans ma valise.
Une vingtaine de minutes plus tard, un taxi m'entraine vers la ville.
À l'accueil, un homme dégarnit et rondouillard, d'une cinquantaine d'année, semblant crouler sous le poids des dettes accumulées, me tend la clé de ma chambre d'un air las.
Je monte au premier étage et ouvre la porte, qui grince bruyamment tandis que je la pousse.
Les choses sont comme je les ai laissé. Ma valise est toujours ouverte sur le couvre lit poussiéreux et vieillot.
Je commence à me déshabiller, glissant mon costume sur un cintre, la chemise allant échouer sur mon lit.
L'eau glaciale s'écoule lentement sous ma peau tandis que, assis au fond de la douche, les yeux dressé vers le plafond, je laisse la fine pluie marteler mon corps.
Lorsque je me réveillé le lendemain matin, la télévision est encore allumée sur la chaine sur laquelle je l'ai laissée.
Je me lève pour l'éteindre et entreprend de m'habiller, prenant une nouvelle chemise dans ma valise.
Une vingtaine de minutes plus tard, un taxi m'entraine vers la ville.