( Commissariat: Cellules)
Si je n’avais pas encore relevé l’état de délabrement du commissariat auparavant celui-ci me frappe comme un coup de poignard, ici les flics ne représentent visiblement pas l’autorité.
Cherchant des yeux la large stature de Kane parmi les badauds le descends en reprenant mon souffle les quelques marches devant le comico, les bras croisés devant moi et les mains rentrées dans les manches de mon pull-over pour me tenir chaud.
J’ai oublié mon manteau en bas, chiotte qu’est ce qu’il fais froid. Je m’allume une clope pour passer le temps, et quand je l’aperçois à la limite de mon champ de vision, il semble rire dans sa barbe naissante du bon coup qu’il viens de me jouer, ou est-ce encore ma paranoïa qui fais des siennes ?
Je le rejoins à grandes foulées pour me réchauffer et ne pas me laisser distancer. Légèrement haletante je lui demande :
« Ou on vas maintenant ? »
Si je n’avais pas encore relevé l’état de délabrement du commissariat auparavant celui-ci me frappe comme un coup de poignard, ici les flics ne représentent visiblement pas l’autorité.
Cherchant des yeux la large stature de Kane parmi les badauds le descends en reprenant mon souffle les quelques marches devant le comico, les bras croisés devant moi et les mains rentrées dans les manches de mon pull-over pour me tenir chaud.
J’ai oublié mon manteau en bas, chiotte qu’est ce qu’il fais froid. Je m’allume une clope pour passer le temps, et quand je l’aperçois à la limite de mon champ de vision, il semble rire dans sa barbe naissante du bon coup qu’il viens de me jouer, ou est-ce encore ma paranoïa qui fais des siennes ?
Je le rejoins à grandes foulées pour me réchauffer et ne pas me laisser distancer. Légèrement haletante je lui demande :
« Ou on vas maintenant ? »