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Quelle belle nuit ! Parfaite, claire, tout juste fraiche. Une belle nuit qui ne fera peur à personne, jusqu'à cet instant.
Quelle est belle la banlieue, ses HLM pourris, ses rues mal famées, ses junkies bien piqués, sa racaille de couleur...
Il était temps que quelqu'un remédie à cela. La cible ? Un dealer sans grandre envergure, seul par dessus le marché. Aussi discrètement que possible, trois silhouettes convergèrent vers celui-ci. Même en pleine nuit, il était aussi aisé de reconnaitre ces costards de mafieux que l'ethnie de ce commerçant de merde.
Il n'en fallut pas plus pour qu'il ne panique et dégaine un beretta crasseux, pointant tour à tour chaque silhouette :
"P'tain ! Cassez vous sales mafieux de merde, ou je vous troue le front !
Comme pour répondre à ce sous-homme, il sentit un contact glacé sur sa nuque, un contact qui n'est rien d'autre qu'un Colt Anaconda chargé. Tenu par la pire personne à croiser dans cette ville lorsqu'on n'est pas un bon visage pâle.
- Quel manque de courtoisie pour un sous-homme. Allez ! Lâche cette saloperie, ça s'entretient une arme...
Le dealer sembla un peu réticent, d'autant que les triplés se rapprochaient de lui d'un air drôlement menaçant. Cependant, le Don Jefferson sut se montrer convaincant en tapotant sa tignasse noire et grasse avec le bout de son arme.
Le beretta tomba lourdement au sol. Manquant sans doute de peu de cracher accidentellement un morceau de plomb. Quoi qu'il en soit, la seconde suivante, la crosse du Parrain frappa le dealer, suivit d'un ordre craché agressivement :
- Allonge toi ! Allez, sale sauvage ! Embrassa la terre qui t'as accueillie !
Intimidé, le pauvre homme fut forcé à s'allonger au sol. Sa bouche fut remplie d'un morceau de tissu, et même si cela faisait mal au Parrain de souiller un symbole confédéré par la salive d'un black, il n'existait pas meilleure signature pour intimider les minorités ethniques.
Sans un mot, le Parrain se pencha en avant pour appuyer son arme derrière la tête de sa victime et son pied sur son bras droit. De l'autre côté, un des triplés avait posé son propre pied sur le bras gauche du dealer pendant que ses frères sortaient leurs lames.
L'affaire ne dura que quelques secondes, ils s'accroupirent d'un seul mouvement et prirent chacun une main pour trancher net les deux index du noir. Celui-ci hurla sa douleur et son desespoir mais fut rapidement ramené au silence par un coup de crosse sur le crâne.
- Si la Banlieue fait acte de soumission, nous la prendrons sans un coups de feu. Sinon...
D'un mouvement, les quatre hommes se relevèrent et repartirent sans demander leur reste. A présent, la zone serait bientôt avertie, et la ville toute entière peu après. La Mafia jette son dévolu sur la Banlieue et la prendra, de gré ou de force, d'ici peu.
Quelle est belle la banlieue, ses HLM pourris, ses rues mal famées, ses junkies bien piqués, sa racaille de couleur...
Il était temps que quelqu'un remédie à cela. La cible ? Un dealer sans grandre envergure, seul par dessus le marché. Aussi discrètement que possible, trois silhouettes convergèrent vers celui-ci. Même en pleine nuit, il était aussi aisé de reconnaitre ces costards de mafieux que l'ethnie de ce commerçant de merde.
Il n'en fallut pas plus pour qu'il ne panique et dégaine un beretta crasseux, pointant tour à tour chaque silhouette :
"P'tain ! Cassez vous sales mafieux de merde, ou je vous troue le front !
Comme pour répondre à ce sous-homme, il sentit un contact glacé sur sa nuque, un contact qui n'est rien d'autre qu'un Colt Anaconda chargé. Tenu par la pire personne à croiser dans cette ville lorsqu'on n'est pas un bon visage pâle.
- Quel manque de courtoisie pour un sous-homme. Allez ! Lâche cette saloperie, ça s'entretient une arme...
Le dealer sembla un peu réticent, d'autant que les triplés se rapprochaient de lui d'un air drôlement menaçant. Cependant, le Don Jefferson sut se montrer convaincant en tapotant sa tignasse noire et grasse avec le bout de son arme.
Le beretta tomba lourdement au sol. Manquant sans doute de peu de cracher accidentellement un morceau de plomb. Quoi qu'il en soit, la seconde suivante, la crosse du Parrain frappa le dealer, suivit d'un ordre craché agressivement :
- Allonge toi ! Allez, sale sauvage ! Embrassa la terre qui t'as accueillie !
Intimidé, le pauvre homme fut forcé à s'allonger au sol. Sa bouche fut remplie d'un morceau de tissu, et même si cela faisait mal au Parrain de souiller un symbole confédéré par la salive d'un black, il n'existait pas meilleure signature pour intimider les minorités ethniques.
Sans un mot, le Parrain se pencha en avant pour appuyer son arme derrière la tête de sa victime et son pied sur son bras droit. De l'autre côté, un des triplés avait posé son propre pied sur le bras gauche du dealer pendant que ses frères sortaient leurs lames.
L'affaire ne dura que quelques secondes, ils s'accroupirent d'un seul mouvement et prirent chacun une main pour trancher net les deux index du noir. Celui-ci hurla sa douleur et son desespoir mais fut rapidement ramené au silence par un coup de crosse sur le crâne.
- Si la Banlieue fait acte de soumission, nous la prendrons sans un coups de feu. Sinon...
D'un mouvement, les quatre hommes se relevèrent et repartirent sans demander leur reste. A présent, la zone serait bientôt avertie, et la ville toute entière peu après. La Mafia jette son dévolu sur la Banlieue et la prendra, de gré ou de force, d'ici peu.
